Premier test, on the Beach !

Ca y’est !!! On a enfin reçu Homer avec 23 jours de retard. Il était temps ; nous avions programmé un we à la côté belge où nous assurions l’intendance pour un groupe de 15 personnes. 

Concrètement, la journée a démarré sur les chapeaux de roues ! Réception à 9h du fourgon, dernier check des options, le plein de diesel et d’eau (deux réservoirs de 90 et 100 litres à remplir, ça prend du temps), chargement des indispensables, des courses, du matériel et des habits, le tout à la hâte. Encodage du GPS ; on démarre enfin !

Constats sur les premiers kilomètres : la largeur plus imposante qu’une voiture (2,05m) n’est pas trop dérangeante au contraire de la prise des tournants (plus proche de celle d’un bus)… attention à ne pas cogner le véhicule !!! Élément perturbant : l’absence de rétroviseur central… Un check à gauche, au centre (Ah non y a pas) et à droite. En parlant de rétroviseurs… On a oublié de demander comment se règlent les petits rétro latéraux, ceux pour l’angle mort. Beau Papa nous fournira la réponse quelques jours plus tard : « Visualisez vos roues arrières et au plus bas possible. »

La position de conduite est très agréable, assis comme sur une chaise, même s’il a fallu trouver le bon réglage du siège pour avoir une visibilité correcte du tableau de bord. On a d’ailleurs constaté que le volant se règle en hauteur mais pas en profondeur. Et ces accoudoirs, quel repos… et ces immenses vide-poches latéraux et cette place entre conducteur et passager… Bonheur ! 

Les feux de circulation et les virages s’enchaînent et nouveaux constats : la première est une vitesse de pur démarrage, donc vite passer la deuxième qui a du couple. La troisième est peu embrayée.  A 50kms/h, le système nous recommande la quatrième et à 70kms/h, la sixième. Nouveau moteur oblige, nous ne montons pas dans les tours. Par contre, le véhicule roule bien, on atteint sans difficultés les 120kms/h (compteur), soit 113kms/h (gps) mais on constate que la vitesse optimale sur autoroute pour la consommation est 110kms/h (compteur) ; il faudra en tenir compte lors des prochains voyages (coût et durée).

On se met dans l’ambiance : fond musical de circonstance. Et là, même avec le super système d’auto radio de remplacement, l’absence de commandes au volant se fait sentir. On s’y fera sûrement et on connaîtra d’ici peu par cœur les touches de l’auto radio. Celui-ci est à 90% tactile ; très vite, les traces de doigts salissent l’écran et empêchent un affichage optimal (ou est-ce encore un réglage à trouver ?). En tout cas, l’écran est inclinable et en plus, le système est DAB (radio numérique) ; on règle quelques stations mais on ne trouve pas comment régler celles qui n’existent qu’en FM. On a pas trouvé non plus comment changer la voix hyper agaçante du GPS mais bien comment encoder le marquage pour la caméra de recul. Un point pour nous ! 

Quant aux commandes au volant, après une lecture express du mode d’emploi, on acquiert vite la maîtrise du régulateur de vitesse. Le mettre en positon ON, lever la commande vers le haut une seconde, il est enclenché. Un cran correspond à 1km/h. 

Pour ce qui est du volume de chargement… 4 casiers de Jupiler, trois cageots de nourriture, une tente de 8 personnes, une table de camping, deux fauteuils de camping, le quick-fit, etc. Et y avait encore de la place d’autant qu’on a chargé dans la précipitation ! Dans le frigo : des tupperwares, deux cubi de vin et d’autres frais. En jouant à Tetris, on aurait pu y glisser encore des produits 🙂 

Arrivés à destination après 3h45 de route (merci la mobilité belge).

L’installation : on se branche au 220v et on souhaite monter le quick-fit. On déplie la toile, on sort les piquets, puis…. et puis, on sèche sur comment régler la hauteur des piquets. Il y a un clip mais on n’ose pas forcer… Un peu d’énervement, on replie, on réessaye, on déplie la toile, on sort les piquets, puis…. et puis, on ose forcer. C’est gagné, les piquets sont ajustés en hauteur. Mais, le vent souffle et le quick-fit n’est pas un auvent de caravane, autrement dit, c’est beaucoup plus fragile face au vent. On remballe le tout en se disant qu’on le tentera plus tard.

Comme on est branché, on change la source d’alimentation du frigo. Il y a trois possibilités :

  • en roulant, c’est en 12v sur la batterie ; il ne refroidit pas mais garde au frais.
  • à l’arrêt, en autonomie, c’est sur le gaz ; il refroidit.
  • à l’arrêt, branché, c’est sur le 220v ;  il refroidit.

Bref, autant adopter vite le bon réflexe sinon plus de batteries ou de gaz d’autant qu’il n’y a pas de petite alarme (on a d’ailleurs oublié de faire le changement sur le chemin du retour et on s’en est rappelé après plusieurs kilomètres sans conséquences).  Après quelques heures sur le 220v,  il refroidit très, très bien !

Après un premier repas, la consigne pour tout le monde est d’essuyer son assiette avec un essuie-tout. Pourquoi ? Car cela enlève pas mal de graisse et de restes alimentaires avant une éventuelle vaisselle. S’il y a trop de graisse, la tendance est de changer l’eau de l’évier à plusieurs reprises. Or un réservoir de 100l d’eau implique un comportement économe. De plus, si il y a des restes, ils tombent dans les canalisations et bonjour l’odeur (il vaux mieux rouler avec les bouchons mis).

Première nuit.  On a laissé les quatre couchages et nous dormons sur les deux du bas. Après un premier ressenti claustrophobe qui s’évapore en trente secondes, le sommeil arrive. Nos gabarits moyens supportent avec aisance la largeur du lit (135cm). Sa longueur (185cm) est un peu plus contraignante pour LUI selon les positions de sommeil. Le sommier et la densité du matelas sont un régal. Les stores occultant efficaces ; il y a très peu de lumière naturelle dans le van, ce qui sera pratique en Norvège au soleil de minuit ! Nous avons passé une très bonne nuit.  La seconde sera marqué pour ELLE par un oubli du lit supérieur, lui occasionnant ainsi une superbe bosse sur le front, cumulée à un coup sur le petit orteil en voulant fermer la porte coulissante de la salle de bain… Tous les jurons wallons y sont passés ! 

Au réveil, habillage. Les vêtements d’ELLE ont été glissés dans le rangement au-dessus de la cabine. Peu pratique car peu de hauteur, pas facile d’extirper son t-shirt. Ses vêtements à LUI ont été rangés dans l’armoire au dessus de la table. L’espace est trop grand, tout est en boule. On mettra une planche verticale coupée à dimension avec un gabarit en carton pour diviser l’armoire en deux et éviter que les fringues se mélangent.

Au retour de la plage, du sable plein la tête… Une douche s’impose. Halte ! Tu la prendras dehors ! On ouvre la fenêtre de la salle de bain et on sort la douchette. ELLE se désensable, surtout les cheveux. Il fait frisquet, une eau tiède fait du bien. Là encore, il faut gérer : la réserve d’eau chaude est de 10l. Désensablée, direction la vraie douche à l’intérieur. Le rideau se clip aux parois, il ne colle donc pas au corps après 1 minute et protège globalement bien la cabine, même s’il vaut mieux bouger le PQ. Pour poser ses petits produits, deux solutions : soit par terre, soit dans le petit évier (derrière le rideau). Se laver les cheveux, surtout pour ELLE, est vraiment compliqué… ça se met partout, il faut bien rincer, ça tombe dans le bac, ça bouchonne… Bref, pour ELLE, le shampoing sera désormais sec, en camping ou en extérieur. Pour s’essuyer, c’est plus facile de le faire porte ouverte. On avait emporté des essuies (serviettes) standards, on prendra désormais des microfibres (plus petits, séchage plus rapide, moins odorant).

Après plusieurs heures dans la brise et la pluie du bord de mer, les corps sont groggy. On test le chauffage (qui fonctionne sur le diesel). Wawww ! Cela va très vite pour réchauffer un si petit volume. 

Dernière chose, le wc chimique. Celui-ci étant dans la même cabine que la douche, il est assez haut. Comme on aime pas trop avoir les pieds qui balancent dans le vide, on a pris un petit tabouret pliable ; il aura sûrement d’autres usages.  La cassette se remplit assez vite et pèse son poids. L’idéal est de la vider après avoir un peu roulé afin que tout soit dissout grâce aux produits. Comme il n’y a aucun point de vidange près de chez nous, on a l’a fait au camping. Conseil d’un expérimenté : « si tu utilises des produits écolo, tu peux la vider sur ton composte » … On y pensera. 

Dimanche matin, retour maison. On le décharge et prend le temps de le ranger correctement. Cela nous fait gagner encore de l’espace. Une bonne surprise du volume et des possibilités de rangement (à tester sur une période plus longue cet été). Un coup d’aspirateur et de produit nettoyant dans la salle de bain et dans la kitchenette. C’est toujours plus agréable et facile de repartir avec un véhicule propre. On sait que nous devrons compter plus ou moins 1h30 à chaque retour d’escapade.

Voilà pour une première qui nous a ravis, même si nous n’avons pas pu le tester dans toutes les conditions.

Options, où êtes-vous ???

C’est avec beaucoup d’impatience que nous attendions l’arrivée d’Homer programmée pour le 20 mai dernier.

Après un premier soucis de livraison (sans trop savoir lequel), le vendeur nous annonce qu’Homer est enfin arrivé avec dix jours de retard. Emballés, nous profitons d’un samedi pour lui rendre visite avant l’installation des dernières options (panneau solaire, auvent, deuxième batterie, etc. ) et là… GROS GROS GROS soucis.

Il manque les commandes au volant, le GPS et la caméra de recul ; il n’y a pas non plus la place pour une deuxième batterie cellule en dessous de la banquette arrière alors qu’on nous a laissés la commander. A cet endroit, se trouve le système de chauffage. Vous me direz :  » il y a 20 ans, on avait pas tout ça ! »  ;  je vous répondrai : « Oui, mais avec la somme déboursée, on veut ce pour quoi on a payé ! « .

Les vendeurs nous informent que  « ce n’est pas la première fois que les vans de cette édition limitée sortent avec ces problèmes… ». Notre tension artérielle passe de 12 à 15 pour atteindre 18… Nous exigeons de voir le patron et de discuter avec lui des solutions envisageables. Celui-ci est très embarrassé ; mauvaise pub’ en perspective. Nous leur laissons quelques jours, le temps de contacter Fiat et Chausson, pour étudier les pistes possibles. Ces pistes, nous les cherchons aussi de notre côté :

  • l’absence de GPS et caméra de recul semble solutionnable avec l’installation d’un autre système. Pourquoi pas… à réfléchir… mais une installation ultérieure engendrerait la perte de certaines fonctionnalités : les commandes vocales, la lecture des sms sur l’auto radio, … éléments  d’origine annoncés dans l’édition limitée (série spéciale du véhicule)
  • les commandes au volant d’origine Fiat, fournies sur cette édition limitée, sont absentes ! Première piste : remplacer le volant chez Fiat. Malheureusement, cela imposerait un tout nouveau câblage car le système électrique est différent. Bref, autant changer de véhicule….
  • l’impossibilité de placer une deuxième batterie de cellule pourrait être compensée par une première batterie plus grande mais il faut veiller à ce que sa capacité ne dépasse pas de 20% celle de la batterie moteur. Quant à son emplacement, elle pourrait se situer sous le siège conducteur.

En gros, seule l’absence des commandes au volant n’a pas de solutions… Soit nous refusons le véhicule sans être sûrs d’avoir un nouveau à temps avant nos vacances, soit nous demandons une compensation au vendeur.

Nous réfléchissons donc à une proposition qui ne soit ni trop gourmande, ni trop perdante pour nous :

  • toute de suite, on pense à la roue de secours… ca coûte bonbon ; ils pourraient nous l’offrir (360,-e jante et pneu, montage non compris)
  • de même, quelques produits d’entretiens et accessoires (barre de rangement, papier wc dissolvable, deux cubes de gaz …)
  • un up grade de l’auto radio, compatible avec une caméra de recul qu’ils devront installer, permettant de récupérer un semblant de commandes (vocales, notamment) et d’afficher l’écran du GSM (système Androïd Auto). Notre choix se porterait donc sur un Kenwood (1.300,-e), soit 200 euros plus cher que celui qu’ils nous proposaient
  • un up grade de la première batterie cellule (150A au lieu de 100A) et donc, le rajout d’un booster de charge, remplaçant le coupleur séparateur entre la batterie moteur et la batterie cellule permettant d’aller au delà des 20% de différence entre les deux batteries. Ceci résoudrait l’absence d’une deuxième batterie cellule
  • un up grade du panneau solaire, de 100 à 140 watts,  pour compenser la perte de la deuxième batterie et si c’est faisable par rapport à la taille du toit.

Bref, un surcoût pour eux de 1.100 euros. A négocier… 

Quelques jours plus tard, Nous en mode Schwarzenegger… 

Le vendeur nous propose un Parrot, un kit bluetooth annexe. On est un peu déçu… et heureusement, on avait anticipé le coup. On propose toute la liste qui précède… BINGO ! On a obtenu, sans le moindre coût supplémentaire : 

  • l’autoradio souhaité Kenwood avec système Androïd Auto
  • un panneau solaire de 140 watts, la place ne permettant pas la deuxième batterie cellule, ni une première. Initialement, c’était un 100 watts.
  • la roue de secours (support et montage)
  • un cube de gaz, un isolant extérieur pour la cabine, un cric et un kit de consommable (papier et produit WC, micro pur, gel silicone)

Le tout livré le 21 juin à 16h… Croisons les doigts.

 

Pourquoi ce modèle et ces options

Sur la page Homer vous trouverez une brève description de notre fourgon aménagé. On vous propose ici de parler un peu plus de notre van et d’exposer les raisons du choix de ce modèle.

Comme vous auriez pu le lire dans notre premier article On the road, on s’est décidé, le choix de vacances roadtrip était une certitude (quoique…) contrairement au modèle ! C’est d’ailleurs après avoir tergiversé pas mal que nous avons construit la rubrique Choisir son véhicule où nous avons rassemblé les principales questions à se poser pour opter ou non pour tel modèle. 

D’un point de vue personnel, voici les raisons pour lesquelles nous avons choisi ce modèle :

  • sa taille « compacte » remplace l’une de nos deux voitures au quotidien au contraire d’un motorhome (de type capucine, intégral ou profilé) qui aurait représenté une plus grosse dépense ;
  • sa taille reste dans les standards (camionnettes), pratique pour les ferries et les villes (même si nous pouvons oublier les parkings souterrains) ; 
  • Chausson est une marque française assez fiable, connue et restant abordable avec pas mal d’options ;
  • ce modèle comprenait quatre couchages à l’arrière et amovibles selon le nombre de passagers. Il n’occupent donc pas l’espace repas. Pratique si l’un souhaite se reposer et l’autre bénéficier du coin repas. Pratique aussi en cas de sieste d’enfants ; 
  • nous avons bénéficié d’une belle promotion sur une édition proposant pas mal d’options (GPS, caméra de recul, réservoir des eaux usées isolé, porte coulissante pour la salle de bain, chauffage programmable, …)

Nous avons ajouté quelques options qui nous semblaient indispensables en vue de nos destinations (d’autres marques les proposent aussi) : 

  • le chauffage sur le carburant et non au gaz. La raison ?  Tous les raccords ne sont pas compatibles selon le pays où vous achetez votre bouteille de gaz ; 
  • une deuxième batterie de cellules, très utile lorsque le chauffage est branché sur le carburant car cela consomme plus d’électricité ;
  • un kit d’altitude pour le chauffage modifiant l’injection de carburant dans le système de chauffage. En effet, au delà de 1.400m d’altitude, le système s’encrasse ;
  • le système de sécurité du gaz, un crash sensor, qui permet de laisser le gaz ouvert en roulant (pratique pour le frigo) mais qui, en cas de choc, verrouille la bouteille ; 
  • un panneau solaire pour recharger plus facilement les batteries et donc augmenter l’autonomie électrique ; 
  • un régulateur solaire plus performant de type MPPT qui permet une meilleure gestion du panneau solaire et un meilleur chargement de la batterie ; 
  • un convertisseur 12v-220v afin de recharger portables et ordinateurs lorsque nous ne sommes pas raccordés à une borne électrique ;
  • le store avec un auvent quick-fit, utile pour agrandir l’espace de vie lors des jours de pluie ou vent. Sur certains forums, nous avons lu que d’autres voyageurs plantaient la tente des enfants dans l’auvent.

Voilà pour ce qui est d’Homer… il ne reste plus qu’à faire sa connaissance, l’apprivoiser et le rôder ! 

 

En complément, à lire sur le Monde du Camping Car : 10 vérités sur les fourgons aménagés, des camping-cars pas si différents

On the road, on s’est décidé !

Après un an à cogiter sur le modèle, à visiter les show rooms, à peser les pour et contre, Homer, notre fourgon, est presque en vue ! J-30 !

Retour sur une épopée d’hésitations et de choix.

Depuis 2004, nous avons testé différents types et lieux de vacances : l’hôtel classique, le circuit en voiture, la location d’un gîte, le trek, le camping, le culturel, le grandeur nature, le farniente et même le all-in… Tous ont leurs avantages et leurs inconvénients et surtout leur philosophie et il n’y en a pas une meilleure qu’une autre ! Les envies, les budgets sont propres à chacun et évoluent avec le temps !

C’est en 2014 que nous découvrons le roadtrip en van grâce à un ami et à son Mercedes Vito aménagé par Westphalia. Cette première expérience d’une dizaine de jour à travers la Toscane a tout changé !

De retour au métro-boulot-dodo, l’idée d’acquérir un van fait son chemin. Mais cela nous semble encore un rêve inaccessible et peu raisonnable.

N’étant pas deux aventuriers prêts à tout lâcher pour un tour du monde, nous mettons nos deniers dans des briques et tentons de consolider nos vies professionnelles respectives. Mais il nous manque quelque chose… le brin de folie, l’évasion.

La réflexion mûrit, nous lisons, nous comparons, nous discutons avec des personnalités très différentes autant pour nous convaincre de sauter le pas que pour faire le bon choix d’achat : des proches, des inconnus, des vendeurs, des blogueurs, des oiseaux migrateurs, des jeunes, des pensionnés, des anti camping-caristes…

Une occasion s’offre à nous, il faut se décider. Nous signons. Il s’appellera Homer.

Ce qui a fait couler l’encre du stylo sur le bon d’achat :

  • voyager est un rêve accessible et enrichissant tant sur le plan humain et que culturel ;
  • nos briques ne vous accompagneront pas dans la tombe mais les souvenirs des paysages oui !  ;
  • en listant nos destinations de rêve, nous avons constaté que 75% se trouvaient en Europe aisément parcourable avec ce type de véhicule ;
  • ce mode de voyage nous paraissait un compromis de vie entre aventure et stabilité ;
  • ce type de voyage est moins onéreux que les séjours en hôtels et en circuit voiture ;
  • le coût total du véhicule ne nous semble pas excessif sur une année si on l’utilise au moins 6 semaines/an. Le surplus financier qu’il représente par rapport à une voiture est ainsi aisément amorti sur une dizaine d’années et durant ce temps, nous aurons le temps de voir du pays !
  • partir où on veut et quand on veut, voyager à notre rythme et non à celui des réservations !
  • la possibilité de changer d’endroits tous les jours ou presque et de garder une petite maison roulante ;
  • avec une trentaine de jours de congé par an, autant en profiter lors de petites escapades et dans de lointaines contrées et il faut bien le dire, la Belgique n’est pas connue pour son agréable météo

Comme vous le voyez, se décider à se lancer sur la route ne fut pas facile… Et après, il a fallu choisir le modèle et les options, une autre paire de manches !

 

 Pour plus d’infos sur les options et accessoires, consultez l’article : Pourquoi ce modèle et ces options